Temple de Louxor

 

Le temple de Louxor aujourd'hui.

 

Le temple lors de sa construction. Reconstitution RMN.

Le nom de Louxor ou Louqsor dérive du pluriel du mot arabe al-kousour (القصور), c'est-à-dire "les châteaux", synonymes des ruines que sont les temples du domaine d'Amon-Rê.

Histoire du temple

Plan du temple de Louxor

 

D'une longueur de 260 mètres et d'une largeur d'environ 50 mètres, l'édifice est de dimensions plus modestes que le temple de Karnak.

Le plan de masse respecte parfaitement les constructions de la tradition pharaonique. Il comprend une succession de cours et de salles dont le niveau du sol remonte légèrement en progressant vers le sanctuaire, alors que les plafonds suivent une pente rigoureusement inverse.

Dromos

Le dromos.

Le temple de Louxor, dédié à la triade des divinités de Thèbes Amon, Mout et Khonsou, était relié au premier pylône du Grand temple d'Amon à Karnak par un dromos rectiligne de 2,5 kilomètres bordé de plus de 700 sphinx qui traversait la ville. Il en subsiste les deux extrémités, ainsi qu'un tronçon mis à jour au centre de la ville moderne ; on y a même retrouvé les emplacements où étaient plantés certains arbres, entre les sphinx. Le dégagement du dromos se poursuit.

Les statues portaient des têtes de bélier sous le Nouvel Empire. Elles seront remplacées, lors des travaux de restauration réalisés sous le règne de Nectanebo Ier, par des sphinx classiques à tête de roi à proximité du temple de Louxor.

Les sphinx à tête du roi Nectanebo qui ont remplacé les têtes de bélier initiales.

Le dromos aboutissait à un mur d'enceinte aujourd'hui détruit, appelé mur de Nectanebo, percé d'une imposante porte de grès dont il ne subsiste que l'arasement. Cette construction entourait une avant-cour qui a disparu.

Ancienne avant-cour et pylône de Ramsès II

On peut apercevoir à la gauche de l'allée des sphinx une petite chapelle romaine en brique cuite offerte au dieu Sérapis le 24 janvier 126 par l'Empereur Hadrien à l'occasion de son cinquantième anniversaire. Ce bâtiment appartenait à l'enclave de l'ancienne avant-cour.

Le grand pylône de Ramsès II qui constitue la façade du temple mesure 65 mètres de largeur et 24 mètres de hauteur. Ses deux massifs étaient recouverts, à l'origine, d'un enduit blanc orné de plaques de métaux précieux et d'un décor sculpté peint de couleurs vives.

Le pylône de Ramsès II.

 

Reconstitution G. Homann

 

Les bas-reliefs représentent l'incontournable bataille de Qadesh (localité située sur les bords de l’Oronte, en Syrie), lors de la cinquième année de son règne (1285 av JC), revue et corrigée par les contemporains de Ramsès II (voir annexe).

Description des reliefs :

A droite : Ramsès II et ses généraux lors du conseil de guerre. Le camp est envahi par les Hittites. Ramsès combat, monté sur son char.

A gauche : le roi en archer ; fuite des Hittites ; la forteresse de Quadesh entourée d’eau ; le roi des Hittites, tremblant, fuit dans son char.

Les hiéroglyphes gravés des registres inférieurs récitent le Poème de Pentaour (du nom de son scribe), gravé sur les murs de tous les sanctuaires importants du règne et qui sera l'un des vecteurs essentiels de la propagande.

 

Il ne reste en place que trois des six colosses d'origine, deux assis et un en pied, taillés dans des blocs de granit rose et gris qui se dressaient devant le pylône de Ramsès II. Ces effigies gigantesques évoquent l’aspect divin du roi.

A côté du siège de la statue du roi, à droite, on devine, outre un prince debout entre ses jambes, une princesse sur le côté de la jambe droite.

Le colosse de gauche représente Ramsès II assis, avec la statue d’une princesse à côté de la jambe droite et celle de Néfertari à côté de la jambe gauche.

Les dieux-Nils nouent le nœud sematawi, symbole d’unification de la Haute et de la Basse Égypte. Autour de la base sont réunis les peuples dépendants de l’Egypte (dont Asiatiques et Nubiens) portant leurs noms inscrits dans un « cartouche-forteresse » ou cartouche crénelé.

Les dieux-Nils nouent le nœud sematawi, symbole d’unification de la Haute et de la Basse Égypte.

A côté du pylône se dressent deux statues en granit noir, celle du roi Mérenptah (1213-1202), fils de Ramsès II. Une tête de Ramsès posée sur un socle moderne est placée à côté du massif oriental du pylône.

Tête de Ramsès II posée au sol.

 

L'obélisque de granit rose érigé au premier plan est le frère de celui qui se trouve place de la Concorde ; il repose sur un socle où quatre babouins, destinés à accueillir le soleil du matin, sont en position d’adoration. Le sommet pyramidal (ou benben) était recouvert d’une feuille d’électrum (alliage de 80% d’or et 20% d’argent) qui étincelait au soleil, symbolisant le dieu-soleil Rê.

   

L'obélisque resté en place, son jumeau ornant la place de la Concorde.

Ces obélisques, respectivement de 23 mètres (celui de Paris) et de 26 mètres (celui en place), pèsent environ 230 tonnes. Sur chacune des faces de l’obélisque de Louxor, trois rangées d’inscriptions verticales répètent le nom et les titres de Ramsès le Grand :

"Horus, bœuf Puissant, Glorificateur de Thèbes, Favori des Deux Déesses, établissant des monuments à Louxor pour son père Amon qui l’a placé sur le trône ; Horus doré, cherchant d’excellentes choses pour Lui qui l’a créé ; Roi de la Haute et Basse Égypte, Ousermaré, élu de Rê."

C’est Ramsès, apprend-on, qui fit construire ce temple de grès fin, devant Louxor ; élevant pour lui (Amon) un pylône tout neuf, dont les mâts de fêtes touchent le ciel. Sur la façade ouest du pylône, on peut voir les rainures destinées à recevoir les mâts à oriflammes (deux de chaque côté) érigés les jours de cérémonies ; celles-ci dominaient les môles d’un bon tiers.

Sur le revers du pylône, sont exposées des scènes de culte et de fête du dieu Min, dieu de la fertilité. Cette fête marquait le début de la récolte avec des processions solennelles et on présentait au dieu des laitues, symbole de la fécondité.

Grande cour de Ramsès II

La grande cour de Ramsès II.

 

Reconstitution G. Homann

Les portes du pylône donnent accès à la cour de Ramsès II, d'une largeur de 50 mètres et d'une longueur de 57 mètres. Elle est entourée de portiques comprenant une double rangée de 74 colonnes à fûts lisses et à chapiteaux papyriformes fermés.

La chapelle-reposoir en granit construite par la reine Hatshepsout, puis Thoutmosis III, située contre le pylône, à droite en entrant dans la cour, possède des colonnes de la XVIIIème dynastie proche du modèle végétal. La chapelle, construite pour la triade thébaine, a été restaurée par Ramsès II. Elle est précédée de fines colonnes en forme de bouquets de papyrus.

La chapelle-reposoir de la reine Hatshepsout.

 

La mosquée Abou el-Haggag qui surplombe l'angle nord-ouest de la cour hypostyle repose sur le temple, sur les fondations d’une église copte. Sa construction date de l'époque où celui-ci était enfoui sous les sables du désert.

 

Une ancienne porte de la mosquée Habou el-Haggag montrant la hauteur du sable qui emplissait la cour du temple lors de sa construction.

 

Le bas-relief qui orne le mur sud permet de se rendre compte de l'aspect initial du pylône.

 

Le pylône lors de son inauguration.

 

Cette oeuvre représente les 17 premiers princes royaux, conduits par Ramsès I lui-même, qui conduisent la procession inaugurale et se dirigent vers le pylône, les deux obélisques et les six colosses.

A l’occasion de cette solennité, des bœufs gras sont conduits pour le sacrifice. L’espace entre leurs cornes est garni tantôt de plumes, tantôt d’une tête de nubien, ou encore d’une tête de sémite ; leur sacrifice se substitue à celui des populations nubiennes ou asiatiques que, selon l’ancienne tradition, tout roi doit mettre à mort pour son triomphe.

 

La procession inaugurale conduite par les fils de Ramsès II.

 

La procession inaugurale du temple : les boeufs gras sont conduits pour le sacrifice.

 

Le sud de la cour est orné de onze statues géantes en pieds et de deux colosses assis. Elles ont été, pour la plupart, sculptées dans du granit et portent toutes le nom de Ramsès II. Six d'entre elles remontent à Aménophis III et ont été rebaptisées par le nouveau roi selon une pratique largement répandue dans l'Égypte ancienne.

Statue en pieds de Ramsès II.

 

Ramsès II et Néfertari.

 

Colosse assis de Ramsès II.

Le changement d’axe entre les deux parties du temple vient de la réorientation au moment où Ramsès II agrandit le temple. Le décalage entre le nouvel axe et celui d’Aménophis III correspond au décalage angulaire entre les points d’observation du lever héliaque de Sirius, qui permettait d’orienter correctement le temple à l’est, à l’époque d’Aménophis III et à celle de Ramsès II.

Colonnade d'Aménophis III

Les constructions d'Aménophis III commencent par une colonnade de 14 colonnes papyriformes à chapiteaux ouverts de 14 mètres de hauteur.

 

Colonnade d'Amenophis III.

 

Reconstitution G. Homann

 

Cette enceinte occupe une superficie de 52 mètres de longueur sur 20 mètres de largeur.

A droite et à gauche de l’entrée, deux paires de statues représentant Amon et sa parèdre Mout, sont sculptées dans du calcaire cristallin.

Cette salle, le plus haut des édifices conservés du temple, se compose de deux rangées de sept colonnes campaniformes à fût lisse de 15,80 mètres de haut sur lesquelles sont posées de lourdes architraves ; elle constituait l’entrée solennelle du temple d’Aménophis III et fut ensuite flanquée de grandes statues de Ramsès II.

Les reliefs des parois latérales, qui remontent à Toutânkhamon (1340-1331) et à Horemheb (1327-1295), représentent la fête officielle d'Opet sous le Nouvel Empire. Cette fête avait lieu durant le second mois de la saison de l’Inondation et durait onze jours. La triade de Thèbes, Amon, son épouse Mout et leur fils Khonsou - entourés de soldats, de musiciens et de danseurs - se rendaient en barque du temple de Karnak à celui de Louxor sur une barque d'apparat tirée depuis la rive du Nil lors de sa crue. Le décor a été poursuivi jusque sous Séthi Ier (1294-1279).

Description des bas-reliefs : la fête d'Opet.

Amon partait de Karnak (Ipet-Isout) à Louxor (Ipet-Resyt), y séjournait un certain temps, puis retournait dans sa barque à Karnak ; des orchestres, des danseuses accompagnaient gaiement la foule en prière mais remplie d’allégresse.

Sur le mur ouest, le roi encense, offre des libations et des bouquets de fleurs à Amon. Il fait des offrandes aux barques contenant les effigies sacrées de la triade thébaine. Les barques sont ensuite portées par les prêtres depuis le IIIe pylône (construit par Aménophis III) jusqu’au Nil. Le cortège est accompagné de porteurs d’étendards, de deux groupes de musiciens avec joueurs de trompettes et tambours, de danseuses nubiennes, de femmes agitant des crécelles. Arrivés à Louxor, les barques sont accueillies par des hommes sur des chars, par des soldats, des danseurs, des musiciens, des porteurs d’offrandes ainsi que par des bouchers sacrifiant des bœufs. Les barques sont à nouveau portées par les prêtres, avançant jusqu’aux autels.

Sur le mur est, les scènes montrent le retour de la procession de Louxor vers Karnak, après la fin de la fête. Les parties supérieures du mur ont été abattues et débitées à l’Époque médiévale et moderne, par les habitants qui les ont utilisées comme matériau de construction.

La colonnade donne accès à la seconde cour hypostyle.

Cour d'Aménophis III

Cette cour, de 52 mètres de longueur et de 46 mètres de largeur, est entourée d'une double rangée de 64 colonnes papyriformes fasciculées et cannelées.

Les barques solaires traversaient cette cour pendant la fête d’Opet pour prendre place dans de petites chapelles aménagées à cet effet, s’ouvrant dans le mur du fond du portique sud.

De nombreuses architraves sur lesquelles le nom d’Aménophis III est sculpté, montrent aujourd’hui encore des couleurs d’une fraîcheur inchangée et laissent deviner combien la cour dut être jadis impressionnante.

Cour d'Amenophis III.

 

Reconstitution G. Homann

Des fouilles entreprises en 1989 pour sonder les fondations ont permis de mettre à jour un trésor qui renfermait une vingtaine de statues en excellent état de conservation dont certaines remontent à l'époque de Thoutmosis III. Elles sont exposées au Musée de Louxor depuis 1992.

Première et deuxième salles hypostyles

La première salle hypostyle de la partie couverte du temple comprend 32 colonnes papyriformes, du même type que la cour, disposées en quatre rangées.

Elle était éclairée par la lumière du jour, créant un espace intermédiaire entre le plein soleil de la cour et l’obscurité des petites pièces du temple.

Description des reliefs.

Sur la paroi est, et sur trois registres, trois scènes sont représentées :

  • Le roi, suivi de porteurs d’offrandes, offre à Amon et à Amonet des animaux, des oiseaux et des poissons ; il tue un oryx devant Amon ; il est suivi par son ka (esprit gardien) et par le dieu Montou ; il porte quatre vases d’onguent qu’il offre à Amon.

  • Le roi est debout avec des sceptres en main ; les textes évoquent des rituels de cérémonie de fondation ainsi qu’une litanie consacrant les offrandes devant Amon.

  • Le roi, accompagné de son ka, conduit quatre veaux et offre quatre boîtes contenant des tissus colorés ; il dresse un échafaudage. Étreint par le dieu, il reçoit ainsi la vie.

  • A la base du mur, deux séries de divinités de nomes (régions) agenouillées, portent des présents, chacune conduite par un dieu-Nil.

    Le mur sud représente des scènes du couronnement d’Aménophis III par les dieux.

    Elle donne accès à une seconde salle hypostyle, appelée vestibule, qui sera transformée en chapelle du culte impérial (« chapelle aux enseignes ») par les soldats romains vers 301 après Jésus-Christ, lorsque Dioclétien (284-305) fit de Louxor une garnison romaine.

    Ces derniers recouvriront les parois d'une couche d'enduit et de peintures représentant une allocution de l'empereur Dioclétien lorsque celui-ci réorganisait la défense en Haute-Égypte.

    La fresque romaine restaurée (mars 2007).

     

    Plan du Saint des saints

    Le sanctuaire de la barque d’Amon

    La petite salle hypostyle aux quatre colonnes située dans le prolongement renfermait la table d'offrandes. Les reliefs représentent des barques de la triade thébaine.

     

    La salle des offrandes.

    Après avoir franchi la porte sud de la salle des offrandes, on pénètre dans la salle du sanctuaire de la barque sacrée du dieu Amon de Karnak. La salle était supportée par quatre grandes colonnes dont les bases apparaissent sur le dallage. La décoration montre Aménophis III rendant hommage au dieu et recevant des mains de son "divin père" Amon, la couronne d’Égypte.

    Plusieurs siècles plus tard, les colonnes furent démontées et une chapelle destinée à recevoir la barque d’Amon, fut placée à leur place.

    C’est Alexandre le Grand (332-323), commanditaire de ces travaux qui apparaît sur les murs en tant que pharaon, admirateur d’Amon. Le titre de roi d'Égypte lui avait été conféré lors de la conquête par les prêtres d'Amon de l'oasis de Sioua.

    La chapelle, ouverte aux deux extrémités, comporte un socle de granit pour la barque du dieu.

    Les parois sont ornées de reliefs : ainsi, sur le mur d’entrée, le roi arrive dans le sanctuaire ; sur le mur du fond : intronisation solennelle du roi agenouillé devant Amon qui reçoit la double couronne en présence de l’ennéade des dieux ; sur les côtés, représentation du sacrifice royal devant la barque d’Amon.

     

     

     

    Alexandre fait une offrande à Amon.

    (scène qui n'a pas été gravée du vivant d'Alexandre mais sous le règne de son successeur Philippe Arrhidée)

    Une dernière salle, le Saint des Saints, termine le temple avec des représentations divines.

    Parmi les pièces voisines (dont les magasins), on remarquera particulièrement la salle de la Naissance divine ou mammisi, qui commémore par les scènes du mur ouest le mythe de l’origine surnaturelle du roi, la théogamie.

    Description des reliefs.

    Les scènes décrivent l’union sacrée d’Amon et de la grande épouse royale, dont l’hymen donnait naissance au futur héritier de la couronne. Ainsi, chaque nouveau règne favorisait le commencement d’un nouveau cycle. La théogamie permettait de plus de célébrer la permanence de la fonction royale, périodiquement renouvelée par Amon. C’était là, la fonction majeure d’un tel « temple de millions d’années ».

    Sur le registre du bas (de droite à gauche) : la conception

    La tradition évoque la conception en images très chastes. Elle met en présence d’Amon, ayant pris les traits de Thoutmosis IV, aux termes de la légende qui accompagne la scène, et Montemouia. L’union proprement dite est suggérée par l’entrecroisement de leurs jambes. Les deux déesses Selkis et Neith soutiennent leurs pieds. Moutemouia est placée sous la protection d’Isis qui l’embrasse en présence d’Amon.

    Sur le registre du milieu (de droite à gauche) : l’annonciation

    Thot annonce à la reine Moutemouia qu’elle va mettre au monde un fils. Montemouia, à la grossesse fort visible, se laisse soutenir par Hathor, tandis que Khnoum lui présente le signe de vie. La présence  des génies de Pé et de Nekhen s’explique par le fait qu’ils représentent les ancêtres de la royauté pharaonique. Bès et Touéris, divinités présidant à la naissance, se prépare à intervenir. Khnoum, le dieu potier, façonne alors l’enfant et son double (ka) sur son tour.

    Sur le registre du haut (de droite à gauche) : la naissance

    On assiste à la délivrance de la reine, placée sur un lit à balustrade ; une fois l’enfant sorti, Hathor le présente à Amon afin qu’il le reconnaisse. Sur les genoux du dieu, l’enfant se voit assigner sa destinée, attouché par la palme, symbole des innombrables années de vie.

    Le nouveau-né boit le lait de la vache Hathor ; le jeune roi est également allaité par neuf fées, Hathor en ses tutélaires manifestations (neuf comme l’infini mais aussi comme les neuf points les plus sacrés de l’Égypte).

    Puis l’enfant est présenté à son père, Amon, et prend place sur le trône.

    Murs extérieurs 

    Les campagnes de Ramsès II contre les Hittites y sont représentées. Les reliefs les mieux conservés sont ceux du mur occidental de la cour à portique d’Aménophis, de la colonnade et de la grande cour jusqu’au pylône.

    Les murs extérieurs du temple. Reconstitution G. Homann

     

     

    Le pylône du temple de Louxor à la tombée de la nuit.

     

     

     

    La bataille de Qadesh

     

    Un obélisque place de la Concorde

     

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